25/11/2013

Dr Hamer et le cancer



Ryke Geerd Hamer, né 17 mai 1935 à Mettmann en Allemagne, ancien médecin très controversé, est l'inventeur de la nouvelle médecine germanique qui prétend guérir le cancer.
né le 17 mai 1935 (78 ans), Mettmann - Allemagne

Connaissez vous Dr Hamer et sa théorie sur la maladie du siècle : le cancer ?

Voici un extrait de la revue NEOSANTE, N°1 de mai 2011, où ses travaux sont exposés :

LES CINQ LOIS BIOLOGIQUES DE HAMER
La lecture des écrits de Hamer est ardue pour les francophones. Heureusement, Robert Guiné a suivi de près ses travaux et, dans son livre : "Les maladies, mémoires de l’évolution", il a réalisé la plus fidèle présentation française qui soit des découvertes de Hamer, en y ajoutant sa propre expérience.

1ère loi : la loi d’airain du cancer
Tout cancer débute par un D.H.S., un choc brutal, un conflit aigu, dramatique, qui prend l’individu à contre-pied, vécu dans l’isolement et perçu par le patient comme le plus grave qu’il ait jamais connu.
C’est la manière subjective, voire l’endroit du corps où le patient l’a ressenti qui détermine la
localisation du cancer dans les organes et plus précisément dans les tissus des organes. Par la suite, cette loi a été étendue à la quasi-totalité des maladies, sauf principalement à celles résultant de l’action toxique ou d’agents physiques qui agissent par effet de masse et des maladies résultant de carences alimentaires graves.

2ème loi : la loi d’évolution biphasique des maladies
Toute maladie est caractérisée par une évolution en deux phases, à condition que le conflit ait reçu une solution : la phase active du conflit et la phase qui suit la résolution du conflit, dite aussi phase post-conflictolyse ou phase de guérison.

3ème loi : le système ontogénétique des tumeurs et des équivalents cancéreux
Les relais cérébraux qui sont situés dans le cerveau ancien (tronc cérébral et cervelet) sont en résonance avec les tissus de l’endoderme et du mésoderme ancien. Les programmes biologiques qui y correspondent aboutissent à la formation de masse dans ces tissus. Les relais situés dans le cerveau nouveau (substance blanche et cortex cérébral) sont en résonance avec les tissus du mésoderme nouveau et de l’ectoderme. Les programmes biologiques qui y correspondent peuvent aboutir, selon le tissu, soit à des nécroses, soit à des blocages durant la phase active du conflit.

4ème loi : le système ontogénétique des microbes
La classification des microbes correspond à leur âge : les plus anciens sont les champignons, les "médiévaux" sont les bactéries et les plus jeunes sont les virus. Tous les microbes sans exception travaillent exclusivement, et sur ordre du cerveau, durant la phase qui suit la solution du conflit jusqu’à la fin du processus de guérison.
- Les champignons traitent les tissus les plus anciens issus de l’endoderme et régis par le tronc cérébral.
- Les bactéries traitent les tissus moyennement anciens, issus du mésoderme et régis par le cervelet ou la substance blanche.
- Les virus traitent les tissus les plus nouveaux, issus de l’ectoderme et régis par le cortex cérébral. 
De plus, tous les microbes sont spécialisés, non seulement en fonction des tissus qu’ils traitent, mais aussi en fonction de la manière dont ils travaillent : les champignons agissent
comme des éboueurs pour déblayer les masses ; les bactéries peuvent travailler à la fois comme éboueurs et restaurateurs ; les virus travaillent à la restauration des tissus nécrosés.

5ème loi : loi de la quintessence des maladies
Toute maladie doit se comprendre comme étant une partie d’un programme spécial de survie, soit un gain de temps, plein de sens, et mis en place par la nature tout au long de l’Evolution.
Cette dernière loi est en quelque sorte la quintessence des quatre précédentes, mais elle ouvre également une nouvelle dimension dans notre compréhension des maladies, en nous reliant à l’ensemble du monde vivant dont nous participons.


Voici quelques exemples de "décodage" de maladies basés sur ses travaux :

Exemples de maladies : 

En quoi pourraient-elles être la solution parfaite ?
  • Le cancer de l’estomac, nous l’avons vu : pour permettre de digérer rapidement un morceau (réel, imaginaire, symbolique ou virtuel) récent très indigeste.
  • La myopie : pour utiliser toute la capacité visuelle pour mieux voir de près car c’est là que se trouve le danger (et l’inverse pour l’hypermétropie).
  • Le cancer des ovaires ou des testicules : pour créer des cellules turbo capables de recréer ce qui a été dramatiquement perdu.

  • L’hyperthyroïdie : pour aller plus vite pour attraper le morceau.

    • Le mélanome : pour faire une carapace protectrice.

    • Le diabète : pour avoir plus de sucre dans le sang et mieux résister à tout.

    • Le cancer du sein : pour faire un super nid car dans le sien il y a un drame avec l’enfant ou le mari.

    • La paranoïa : pour ne plus courir le risque de se faire avoir, car tout est dangereux.

    • La cystite : pour mieux marquer son territoire par l’urine.

    • La migraine : pour ne plus penser car notre pensée est incapable de faire des bons plans.

    • Le cancer des poumons : pour se faire un super poumon quand on voit fondre la mort sur soi.
    • L’infarctus du myocarde mortel : pour éliminer le vieux, qui ne veut pas laisser la place, qui n’accepte pas de perdre son territoire. Ici c’est un cas particulier, car la solution de survie n’est pas individuelle, mais collective : c’est la survie du clan et de l’espèce qui prime, quitte à ce que l’individu meure.